Diofior et
Panazol en quelques mots !
Ville de Diofior
Ce n’est
qu’en 1925 que toutes les concessions furent
regroupées sur le site actuel pour constituer le village de Diofior
qui signifie entente et amitié.

De 1973 à
1990, il est chef-lieu de la communauté rurale du même nom. En effet, avec son
statut de plus grand village de l’arrondissement de Fimela, Diofior fut érigé
en chef-lieu de communauté rurale dès la mise en place de la réforme en 1974.
Cette dernière regroupait les villages de Djilass, Faoye, Rôh, Soudiane,
Sorobougou, Ndibinding et Soumbel. Puis le
village s’agrandit et changea de statut avec son érection en commune par le
décret 1135 du 08 octobre 1990.
Administrativement,
la commune relève du département de Fatick et de la région du même nom.
Les activités économiques principales sont l’agriculture, l’élevage et la pêche. Les principales cultures sont l’arachide, le mil, le maïs et les l’arboriculture fruitière. La pêche constitue une activité très pourvoyeuse de ressources avec la zone maritime et fluviale. le faible dynamisme de son économie est lié à la chute notoire des productions agricoles compte tenu de la perte de fertilité des terres de culture ,l’importance des terres salées impropres à l’agriculture et l’absence d’un secteur tertiaire dynamique.
Le nombre de concessions s’élevait en 2002 à 728 pour 967 ménages. Le recensement effectué en 2009 par les animateurs urbains donne un chiffre de 11 766 habitants répartis en 749 concessions et 951 ménages. Compte tenu du taux de croissance, la population peut être estimée à près de 14 000 habitants.
Les activités économiques principales sont l’agriculture, l’élevage et la pêche. Les principales cultures sont l’arachide, le mil, le maïs et les l’arboriculture fruitière. La pêche constitue une activité très pourvoyeuse de ressources avec la zone maritime et fluviale. le faible dynamisme de son économie est lié à la chute notoire des productions agricoles compte tenu de la perte de fertilité des terres de culture ,l’importance des terres salées impropres à l’agriculture et l’absence d’un secteur tertiaire dynamique.
Le nombre de concessions s’élevait en 2002 à 728 pour 967 ménages. Le recensement effectué en 2009 par les animateurs urbains donne un chiffre de 11 766 habitants répartis en 749 concessions et 951 ménages. Compte tenu du taux de croissance, la population peut être estimée à près de 14 000 habitants.
Ville de Panazol
Panazol
est située à la proximité immédiate de Limoges en Haute-Vienne dans la Région Aquitaine Limousin Poitou Charentes. Autrefois village agricole et maraîcher, Panazol a
connu depuis les années 1960 une augmentation conséquente de sa population
passant de 3309 habitants en 1960 à 10 795 au 1er janvier 2015.
Troisième ville de la Haute-Vienne, après
Limoges et Saint-Junien, deuxième ville de l’agglomération Limoges Métropole,
Panazol est une cité résidentielle mais loin d’être en sommeil au vue du nombre
de services proposés, du dynamisme de la ville culturelle et associative et du
développement des entreprises.
Depuis 2012, Panazol est ville amie des enfants, titre
octroyé par l’Unicef et l’Association des Maires de France, récompensant
la collectivité pour son engagement quotidien au service de l’éducation et
l’épanouissement de sa jeunesse.
Altitude moyenne, 320 mètres. Superficie : 2005 hectares dont 55 % d’espaces naturels, agricoles et forestiers
Altitude moyenne, 320 mètres. Superficie : 2005 hectares dont 55 % d’espaces naturels, agricoles et forestiers

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire